Salut et Fraternité

En cette époque anniversaire (50 ans depuis le départ du Général !),

nous pensons, la cheffe et moi, qu'il est plus respectueux de ne pas

faire de répète demain soir.

Pour vous occuper, voici un extrait de la quatorzième saynète, là ou que

le gars Raymond (et même un peu aussi le gars François) se prend un peu

pour le grand Charles :

 

Raymond: « Oui, oui, je vois bien, le petit français face à la grande

Angleterre, le pot de terre contre le pot de fer, David contre Goliath... »

Raymonde : « Oh, Raymond, puisqu'on te dit qu'elle ne se moque pas !

T'as fini de t'emballer comme ça ? »

Colette: « Mais oui, Raymond, quelle est cette émotion qui t'étreint ? »

François: « Mais oui, Raymond, ne dissimule pas cette émotion profonde

et sacrée ! Parle, il y a là des minutes qui dépassent chacune de nos

pauvres vies. »

Rd: (à la DE Gaulle) « Le Français! Le Français outragé ! Le Français

brisé ! Le Français martyrisé !... »

F: « Mais le Français … (F et Rd) libéré ! »

Rd: (à la DE Gaulle) « libéré par lui-même, libéré par son peuple, avec,

le concours des pays francophones, avec l'appui et le concours de la

France tout entière...»

Éléonore : « Waouh ! »

F: « Mes respects, mon Général Dis, Raymonde, t'en as de la chance !»

Rde : « C'est sûr que je n'irai pas me plaindre d'avoir deux gaules dans

mon lit ! »

Élé : « Là, j'ai pas compris »

C:« Laisse tomber, Éléonore, c'est intraduisible »

F: « Mais oui, laisse tomber, Charles de Girl »

Rd: « C'était quoi le début de la conversation ? »

C: « La Francophonie ! »